Parcours

Venir à l’écrit

Né à la fin des années 70. Dans la vie non littéraire, je suis garçon de labo, mais j’ai auparavant été photographe, documentaliste dans une centrale nucléaire, ouvrier agricole, viticole, brassicole, opérateur dans un tas de choses et sur diverses chaînes de production, manutentionnaire, employé à la facturation, et correspondant local quelques années aux Dernières Nouvelles d’Alsace.

Milieu des années 90 : premiers écrits, 1er prix Printemps de l’Écriture Alsace, catégorie poésie.

Depuis, j’écris un gros texte tous les trois ou quatre ans, à côté de multiples boulots qui m’occupent pas mal. En 2007, deux petits textes sont publiés dans la revue Présages, aux éditions La Différence.

2014 : rencontre avec l’éditeur Camion Noir. En mars 2015, je commence à retravailler le texte qui deviendra la Bascule.

Octobre 2016 : Ouf, terminé, après trois jours passés dans une chambre d’hôtel à corriger le manuscrit, la Bascule part chez le directeur de collection de Camion Noir, c’est accepté, la dernière version est « bien organique », selon ses termes. On lui trouve un sous-titre, « Deux jours dans la tête d’un tueur ». La peinture en couverture est de Nicolas Castelaux.

20 décembre 2016, il caille, c’est l’hiver, parution de La Bascule.

A partir de 2017, je dessine de plus en plus, à l’aquarelle d’abord puis surtout des croquis sur le vif.

Au cours de l’été, dédicaces sur la place de l’hôtel de ville de Molsheim, invité par la librairie Pourquoi pas un livre qui diffuse La Bascule.

Courant 2018, nouvelles lectures, en partenariat avec la même librairie. En parallèle, je reprends le dessin, toujours en croquis rapide, d’abord quelques visuels pour les affiches, puis sur d’autres thématiques. Je prépare d’autres lectures, plus trash, avec accompagnement musical. La première sera dans un bar un dimanche soir de décembre 2018.

En 2019, les lectures continuent, notamment dans un café littéraire associatif, le Divanoo à Bischheim. Je balance dessins et aquarelles sur Flickr. Je sens aussi que La Bascule a besoin d’une suite, c’est pas les idées qui manquent.

… Et toujours des projets… : un pamphlet libertaire, un autre texte plus amusant, parce qu’il faut explorer différents genres, des poésies aussi.

Ma vision de l’écrit

(La Bascule – un extrait)
(La Bascule – un extrait)