On me demande où se procurer mon thriller. La Bascule est disponible sur le site de l’éditeur Camion Noir, chez les libraires en ligne, mais également à la librairie Pourquoi pas un livre ? à Molsheim, tout cela avec la possibilité de vous faire parvenir l’ouvrage par la poste. Pour les lecteurs strasbourgeois, la librairie l’Idéodrôme à Bischheim possède quelques exemplaires.
Réalisé avec mon ami Alexandre Schmitt, ce plan fixe a plusieurs objectifs. Il s’agit de pouvoir nous observer en train de créer, lui écrivant, moi dessinant. C’est un pied de nez aux vidéos « selfie » de format très court, avec ses huit minutes de film où nous ne bougeons pratiquement pas. C’est un exercice où Alexandre écrit en entendant la diffusion de sa voix lisant un de ses propres textes. Des effets de « miroirs-sonores » multiples donc, et d’autres miroirs : la caméra filme la scène et le dessin en cours de création. Tourné à l’heure du couvre-feu le 26 décembre, c’est une caméra de surveillance, fixe et inerte, mais voulue, mais gênante malgré tout, qui est installée dans le logis. C’est enfin un exercice créatif à valeur documentaire. Vous trouverez une note d’intention plus longue d’Alexandre Schmitt expliquant sa démarche.
Ce sont mes premiers essais en vidéos, cela se voit sans doute, et pour le moment le plan unique sans coupure ni retouche m’amuse beaucoup.
Un plan unique sur la démarche de création littéraire et picturale.
La brutalité du désir me dissout le crâne et le cœur.
Il y a des livres attachants. Et il y en a d’autres qui font tache. Pas du style petite tache de confiture sur la chemise. Non non, plutôt bonne grosse tache de foutre, de sang ou d’excrément. Une tache qui vous colle à la peau quoi. Et qui vous file un sacré inconfort. Mais l’inconfort peut être salvateur dans une société policée comme la nôtre. Et ça, Frédéric Bach, qui a publié un poème-calligramme (Ba Be Bi Bo Bu) dans le huitième numéro de REVU, l’a bien compris. Il a donc choisi le parti pris de bousculer le lecteur. Allez-vous saisir la main qu’il vous tend pour une plongée en enfer ? Il n’est pas dit que vous en ressortiez indemne…
Mais ne soyez pas effrayé ou rebuté par cette entrée en matière un peu frontale…
Je participe au numéro 8 de REVU, la Revue de poésie snob et élitiste. Avec une poésie, intitulée Ba Be Bi Bo Bu, qui cherche à monter vers le ciel, avec des vides, et de la folie et des angoisses… Le site web de la revue avec toutes les infos est ici. Quelques pages ci-après :
Un essai de plan-séquence (une seule prise) sans retouche aucune dans lequel il s’agit de mettre de la poésie. Faire simple. Ici avec une horloge, la télé, un pied.
Un pied, des pulsations cardiaques et la télé / A foot, some heart pulsations and TV.
La rubrique Explore de Flickr est une page de présentation des images de Flickr, alimentée par un algorithme (ultra-secret comme il se doit) qui sélectionne des images parmi les dizaines de milliers d’images téléchargées chaque jour.
Pour la première fois, avec ce petit commentaire « Congrats on Explore » (avec une petite étoile), un de mes dessins a été mis en lumière sur cette page. Il s’agit d’un dessin « sur le vif » au parc d’attraction Cigoland, Sélestat. Pour les connaisseurs, ça a été dessiné à côté du sanglier géant 😉
Parc d’attraction Cigoland, Sélestat, Alsace / Feutre UniPin noir sur papier Canson croquis XL format A5 (recadré).
Pour une lecture chez un ami en Provence (on entend les cigales), j’ai déterré un vieux poème, intitulé Trop de mots. Johanna, du haut de ses 8 ans et une année de pratique de piano, m’a accompagné avec une interprétation libre d’un morceau qui s’appelle Le Chant des Étoiles.
En vacances avec des amis, petite fête avec musique et lectures. L’occasion de sortir les stylos et un carnet de croquis…. Avant de participer à mon tour (post à suivre…)