Galmar Nunez Velasco / Venkisen comes to earth

Facebook de Galmar Nunez Velasco : ici / here

Mon ami Galmar Núñez Velasco a fait traduire son ouvrage et projette un voyage, en Europe notamment, pour le présenter. Alors j’ai appris que CMDX signifiait Mexico, merci Wikipedia (en espagnol : Ciudad de México /sjuˈða(ð) ðe ˈmexiko, en abrégé CDMX). J’adore les rencontres et les conversations Whatsapp avec l’autre bout du monde, en décalé, surtout que même sans décalage horaire mon nouvel ami se couche à l’heure à laquelle moi normalement je me réveille. On parle donc en anglais à 5h du mat’ heure de Paris, car il ne parle pas français, et je ne parle pas espagnol.

J’ai fait la quatrième de couverture de son livre, je le laisse se présenter, en attendant de l’accueillir en septembre prochain. Galmar aime la musique et l’écriture, j’aime le dessin et l’écriture, on est fait pour s’entendre.

Galmar est né en 1976 dans la ville colorée d’Oaxaca, dès l’âge de 15 ans il est devenu mélomane et de ses 17 ans à aujourd’hui il continue à jouer de la guitare électrique. Il donne actuellement des cours particuliers à Mexico. À Oaxaca, il étudie l’ingénierie électronique, métier qu’il exerce depuis son arrivée à Mexico en 2001 et jusqu’en 2021. Depuis l’âge de 20 ans, il forme et appartient à des groupes et variantes de rock, comme Grado Cero (Rock, 1996-1998). ), Catarsis (Rock alternatif, 1998-2000) et Mazzat (Rock/Métal, 2001-2009). Concernant les arts littéraires, il a commencé son apprentissage d’écriture avec la publication du numéro du magazine Venkisen en 2021. En 2022, il publie son premier livre (format longue histoire) intitulé La Medusa del Dj. Et en cette année 2023 il publie son deuxième livre (format longue histoire) intitulé Kiara, DJ Tattoo Artist. Il est actuellement en train d’écrire son 3ème livre qui s’intitule : CDMX, City of Electronic Music, et qui sera présenté jusqu’en 2024.

Mi amigo Galmar Núñez Velasco ha hecho traducir su obra y está planeando un viaje, particularmente a Europa, para presentarla. Luego supe que CMDX significa Ciudad de México, gracias Wikipedia (en español: Ciudad de México /sjuˈða(ð) ðe ˈmexiko, abreviado CDMX). Me encantan las reuniones y las conversaciones por Whatsapp con personas del otro lado del mundo, sobre todo porque, incluso sin desfase horario, mi nuevo amigo se acuesta a la hora que normalmente me levanto. Así que hablamos en inglés a las cinco de la mañana, hora de París, porque él no habla francés y yo no hablo español.

Hice la contraportada de su libro, le dejé presentarse, esperando darle la bienvenida el próximo mes de septiembre. A Galmar le encanta la música y escribir, a mí me encanta dibujar y escribir, estamos hechos para llevarnos bien.

Galmar nace en 1976 en la colorida Ciudad de Oaxaca,  desde los 15 años se vuelve un melómano  y a los 17 años hasta el día de hoy a tocar la guitarra eléctrica (actualmente da clases particulares en Cdmx). En Oaxaca estudia Ingeniería en Electrónica, profesión que ejerce desde su llegada a Cdmx en 2001 y hasta el 2021.  Desde sus 20 años ha formado y pertenecido a bandas de Rock y variantes, como fue Grado Cero ( Rock, 1996-1998), Catarsis ( Rock Alternativo , 1998-2000) y Mazzat (Rock/Metal, 2001-2009).  Respecto  a las artes literarias, inicia su aprendizaje de escritura con la publicación del ejemplar de Venkisen la revista en 20201.  En 2022 pública su primer libro ( formato cuento largo) titulado La Medusa del Dj.  Y en este año 2023 publica su segundo libro (formato cuento largo) titulado  Kiara, Tatuadora de DJs. Actualmente se encuentra en proceso de escribir su 3er libro que se titula: CDMX, Ciudad de Música Electrónica, y que se presentará hasta 2024

My friend Galmar Núñez Velasco has had his work translated and is planning a trip, particularly to Europe, to present it. Then I learned that CMDX means Mexico City, thanks Wikipedia (in Spanish: Ciudad de México /sjuˈða(ð) ðe ˈmexiko, abbreviated CDMX). I love meetings and Whatsapp conversations with people on the other side of the world, especially since even without jet lag my new friend goes to bed at the time I normally wake up. So we speak in English at 5 a.m. Paris time, because he doesn’t speak French, and I don’t speak Spanish.

I made the back cover of his book, I let him introduce himself, while waiting to welcome him next September. Galmar loves music and writing, I love drawing and writing, we are made to get along.

Galmar was born in 1976 in the colorful City of Oaxaca, from the age of 15 he became a music lover and at the age of 17 he continues to play the electric guitar to this day (he currently gives private lessons in Mexico City). In Oaxaca he studies Electronic Engineering, a profession he has practiced since his arrival in Mexico City in 2001 and until 2021. Since he was 20 years old he has formed and belonged to Rock bands and variants, such as Grado Cero (Rock, 1996-1998), Catarsis (Alternative Rock, 1998-2000) and Mazzat (Rock/Metal, 2001-2009). Regarding the literary arts, he began his writing apprenticeship with the publication of the issue of Venkisen the magazine in 2021. In 2022 he published his first book (long story format) titled La Medusa del Dj. And in this year 2023 he publishes his second book (long story format) titled Kiara, DJ Tattoo Artist. He is currently in the process of writing his 3rd book, which is titled: CDMX, City of Electronic Music, and which will be presented until 2024.

Quatrieme de couverture de Venkisen lliega a la tierra

Aquarelle et collage, peinture originale sur papier aquarelle Arches Grain Torchon 300g/m². Ajout par collage de dessins du chien Venkisen et de son amie Adara. Une commande de mon ami Galmar Núñez Velasco, musicien, rocker et explorateur sonore. D’après une photo d’un paysage de San José del Pacifico, Oaxaca, Mexique.

Acuarela y collage, pintura original sobre papel de acuarela Arches Grain Torchon 300g/m². Adición mediante collage de dibujos del perro Venkisen y su amiga Adara. Un encargo de mi amigo Galmar Núñez Velasco, músico, rockero y explorador sonoro. Basado en una fotografía de un paisaje de San José del Pacífico, Oaxaca, México.

Watercolor and collage, original painting on Arches Grain Torchon 300g/m² watercolor paper. Addition by collage of drawings of the dog Venkisen and his friend Adara. A commission from my friend Galmar Núñez Velasco, musician, rocker and sound explorer. Based on a photo of a landscape in San José del Pacifico, Oaxaca, Mexico.

Venkisen et Adara, San José del Pacífico

The human kind, an allegory

Le genre humain, une allégorie. Piège à mites alimentaires, film alimentaire, lépidoptères Pyralidae. // Food moth trap, plastic wrap, moths of the family Pyralidae. Scan, 9,5 x 13,4 cm

Je précise – mais est-ce nécessaire ?-, que ces papillons n’ont pas été tués dans le simple but de devenir sujets de cette photographie.

© Frédéric Bach, 2023

© Frédéric Bach, 2023

La cabane au Gaschney, une série

C’est une cabane bâtie il y a quelques années par mon père, avec l’aide de ses petits-enfants. La station de ski du Gaschney est à 990m d’altitude. Je monte souvent là-haut pour le calme et la fraîcheur. La cabane est devenue prétexte à une série.

Juin 2022
Juillet 2022

Elle est entourée de sapins qui ont peu ou prou mon âge. J’ai fait les premiers dessins à l’aquarelle, l’idée étant d’avoir un fouillis de nuances de vert. La lumière est violente sur le feuillage mais pénètre très mal les arbres. L’intérieur du bosquet est sombre et sec.

Juillet 2022
Août 2022
Mai 2023

Sur les derniers dessins, je suis revenu à mes amours du noir et blanc. J’essaie de tirer partie de la nervosité de la plume pour rendre l’enchevêtrement de branches. J’aime beaucoup l’encre de Chine, mais les ombres au fusain, c’était un test que je ne renouvellerai pas, c’est superflu.

Juin 2023
Juin 2023

Croquis de manifestations n°3

En attendant les grèves de la semaine prochaine, je reviens sur le samedi 11 février. Tout en marchant, j’avais préparé les esquisses, je les ai complétées en rentrant chez moi au fusain ou à l’aquarelle. Pour le troisième dessin, c’est d’après photo, peinard dans mon fauteuil mais beaucoup plus chiadé au final.

Drawing during the pension reform strikes…

Croquis de manifestations n°2

Nouveau jour de grève ce 7 février. Je covoiture jusqu’à Strasbourg les copains cégétés, et démarre la manif derrière le camion. Comme je dessine en même temps, je les perds de vue assez vite. Temps magnifique, et le cortège fait une boucle au départ de l’allée de la Liberté dans la Neustadt. Dur de rêver mieux pour avoir de chouettes arrière-plans, encore que j’aime surtout dessiner les gens. J’ai préparé quelques dessins sur papier aquarelle, il faut encore les coloriser (merci le smartphone pour la photo rapide pour se souvenir des couleurs, ce sera rouge évidemment). A deux reprises, il y avait un banc de libre sur le trottoir, j’ai pu passer quelques minutes de plus à fignoler un dessin.

Drawing during the pension reform strikes…

« Une Histoire d’amour »

Dans la lignée des suites photographiques / romans-photos poétiques aux titres mielleux que je faisais à la fin des années 90, je retrouve cette série sur un CD de sauvegarde de fichier gravé en 2003. Il y avait eu un peu plus tard une exposition dans un cadre étudiant, les journées portes ouvertes de l’IUT / Université Robert Schumann à Illkirch-Graffenstaden. Le titre était kitsch, les clichés aussi dans leur retouche. J’apprenais -doucement- à me servir de Photoshop, l’informatique m’emmerdait déjà, même si j’étais très fier de mon Pentium II d’occasion acheté à un graphiste qui avait une version piraté de Photoshop. Tout ça avait l’air très compliqué, impossible de faire du très propre, compliqué en tout cas par rapport à des retouches de laboratoire (photogramme, collage, retouche à l’aquarelle), alors autant bazarder de la couleur sur mes clichés. J’ai vendu quelques tirages lors de rencontres entre artistes. J’y proposais mes textes aussi, des recueils de nouvelles photocopiés à la va-vite. Là, ça raconte une histoire d’amour. C’est compliqué, ça finit mal. Les photos de départ sont en argentique, et en noir et blanc. Je signais BdC, Barchribe du Cerf étant mon pseudo d’alors.

« Une Fin du monde »

Au milieu des années 90, j’avais transformé ma chambre d’ado en studio-photo pour les prises de vue d’un roman-photo d’anticipation. Après une éruption volcanique, le dernier homme vivant sort de dessous les cendres et se précipite pour adorer un totem des vestiges de sa civilisation. A la fin, il meurt. Côté technique, j’avais un Ricoh KR10M et quelques objectifs, du calque pour le fond, des moules en bois pour figurer les bâtiments, de la cendre et du charbon. Du noir, quoi.

Je viens de retrouver le scan de la pelloche.

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