Le héros est clairement schizophrénique : il pense sans arrêt à sa femme…. entre deux viols et assassinats!
Il y a un côté ludique, subversif, même les meurtres sont légers.
Comme si » l’amoralisation » de la société, la déshumanisation qui réduit l’homme à un mammifère un peu mieux pensant conduisait à la banalisation du meurtre.
L’écriture est fluide, moderne, une vraie recherche du phrasé.
Un auteur qui a de l’avenir.
Le héros est clairement schizophrénique : il pense sans arrêt à sa femme…. entre deux viols et assassinats!
Il y a un côté ludique, subversif, même les meurtres sont légers.
Comme si » l’amoralisation » de la société, la déshumanisation qui réduit l’homme à un mammifère un peu mieux pensant conduisait à la banalisation du meurtre.
L’écriture est fluide, moderne, une vraie recherche du phrasé.
Un auteur qui a de l’avenir.
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